Le personnel d'Afflelou se voit priver de ses Blackberry. Le lunetier avait opté pour les smartphones canadiens il y a un an. Aujourd'hui, il les considère comme des « dangers publics. »
Les smartphones sont des "dangers publics"
Alain Afflelou explique au micro d'Europe 1 que « Vous allez sur internet, vous payez 50 euros et vous avez les textos de qui vous voulez, au bout du monde. On n'a plus de dossiers, on n'a plus de courriers et tout est dans les ordinateurs. » Les employés d'Alain Afflelou vont être équipés d'ordinateurs portables en remplacement de leurs Blackberry. Dans une politique de sécurité, tous les messages y seront supprimés tous les jours. D'autres entreprises pourraient emboiter le pas d'Alain Afflelou dans le premier but de garder concentrés leurs employés durant les réunions.