Sur Facebook, la taille compte ! La taille de sa liste d'amis, du moins. C'est ce qu'affirme l'University College of London, qui indique qu'il existe une corrélation entre le nombre d'amis d'un utilisateur et les capacités de son cerveau.

L'étude a été menée en utilisant un scanner IRM sur 165 volontaires, plus ou moins gros utilisateurs de Facebook. Cela a permis de montrer qu'une grande activité sur les réseaux sociaux stimule de nouvelles zones dans le cerveau, affectant notre manière d'interagir avec le monde. En d'autres termes, les réseaux sociaux amélioreraient grandement les facultés sociales de ses utilisateurs.

Les conclusions de cette étude semblent par ailleurs confirmer les recherches de l'anthropologiste Robin Dunbar qui, en inventant le « nombre de Dunbar », avait tenté d'expliquer qu'une personne au néocortex plus développé était plus à même de créer et de conserver des liens avec des personnes de leur entourage.