Quarante-cinq minutes, c'est le temps pendant lequel on a maladroitement laissé croire à une étudiante de La Rochelle qu'elle avait son diplôme du Bac en poche après ses épreuves de rattrapage. Quid des déclarations rassurantes d'un professeur et le tampon "Admis" ? Tout simplement des erreurs.
Après son oral de rattrapage au lycée Saint-Exupéry de La Rochelle, une lycéenne s'est fait convaincre qu'elle avait obtenu son baccalauréat. Soulagée et heureuse, elle n'a pu le rester que près de 45 minutes avant de céder à une innommable déception : tout ceci était une erreur nous raconte Sud Ouest.
Un problème de tampon.
Après les pulsions de stress communes aux épreuves d'entretiens oraux -et d'autant plus quand il s'agit d'un rattrapage, épreuve de dernière chance-, Charlène s'est vue confier par un professeur qu'elle était reçue à l'examen. Un certificat avec le tampon "admis" lui a même été délivré. La lycéenne a alors le temps d'exulter, apaisée et délivrée de toutes pressions. Seulement 45 minutes plus tard, la liste officielle des admis est affichée et son nom n'y figure pas. C'est alors une amère désillusion pour la jeune fille : avec une moyenne de 9,75 sur 20, elle est recalée. Tous ses espoirs n'étaient dus qu'à une erreur de tampon.
La révolte d'une mère.
Selon Sud Ouest, Virginie Kozel, mère de cette pauvre étudiante, a envoyé une lettre au rectorat afin de réclamer des explications quant aux conditions dans lesquelles ont été communiqués les résultats du baccalauréat. De même, elle a demandé au recteur qu'il rouvre le dossier de sa fille ou qu'il puisse lui donner l'opportunité de repasser l'examen en septembre, en guise de dédommagement.
Un cru 2013 riche en évènements insolites.
Selon Sud Ouest, Virginie Kozel, mère de cette pauvre étudiante, a envoyé une lettre au rectorat afin de réclamer des explications quant aux conditions dans lesquelles ont été communiqués les résultats du baccalauréat. De même, elle a demandé au recteur qu'il rouvre le dossier de sa fille ou qu'il puisse lui donner l'opportunité de repasser l'examen en septembre, en guise de dédommagement.