Les soupçons sur la nocivité des ondes radios requerrons 30 ans d'étude avant d'être confirmé ou infirmé. Des chercheurs européens se sont lancés dans une vaste étude sur 250 milliers d'utilisateurs de téléphones portables dans 5 pays européen.
Les études passées n'ont pas prouver le caractère cancérigène de façon convaincante pour la communauté scientifique. Mais elle n'ont pas prouvé non plus qu'il y avait pas de danger, loin de là. En réalisant une étude plus longue on peut espérer obtenir une réponse vraiment fiable à ces questions.
Cela reflète bien certaines problématiques actuelles : la science a une nécessite de démarche lente et méthodique, qui la rend parfois très lente. Mais nous ne pouvons pas attendre 30 ans qu'elle nous disent si nous courrons un danger : il faut agir immédiatement, sans attendre ses réponses.
En l'absence de données scientifiques concluantes, qui les dirigeants doivent-ils écouter, sinon les utilisateurs ?