La Ve République Française est morte, il va falloir s'y faire.

Place au népotisme, bientôt au régime des décrets-lois et à ce que le Capital affectionne le plus : les systèmes autoritaires.

Comme dans les années 30, c'est un gouvernement socialiste qui prépare le terrain à la négation en masse des droits et libertés. Le droite (dure ou extrême-dure) reviendra, aux prochaines élections, pour finir le travail.

L'Histoire se répète, faute de connaissances historiques et politiques suffisantes.

Observons donc la lente agonie des principes républicains. Je ne suis pas spécialement mécontent de la mort de la République, je ne suis pas républicain. Ce qui m'inquiète, c'est ce qui pointe son nez derrière.

Oh, et ne comptez pas sur l'Europe pour vous défendre : c'est un outil du Capital, une union de gouvernements sclérosés aux ordres d'intérêts très privés, qui saura, le moment venu, participer à l'écrasement des populations, et qui y participe déjà à pleine balle économiquement.

Oui, "l'affaire Dieudonné" est un coup de canon assez voyant contre les libertés publiques. Malheureusement, de nombreux autres se sont alignés dans l'indifférence générale et se préparent à faire feu.

Ce qui me fait chier aussi, c'est le capital sympathie que ça donne à cet abruti, et à ses idées immondes.