http://www.numerama.com/magazine/29002- … e-pas.html
Ce qui me rend fou, c'est ça : "Tout cela alors que le préjudice pour la SNCF était nul, et que la société avait même semble-t-il collaboré avec la production d'Elisa Tovati pour lui permettre de réaliser des tournages." Autant il est compréhensible de vouloir défendre sa "propriété intellectuelle", autant dans ces circonstances, c'est parfaitement incompréhensible... Seule explication : le cabinet d'avocat fait du zèle, histoire de justifier des honoraires que je devine conséquents. Eh oui, c'est bien beau de tout externaliser, mais au bout du compte, on ne gère même plus la défense de son image, et les potentielles conséquences désastreuses d'une initiative malheureuse...