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Everly


L'araignée Gipsy monte à la goutière,
Tiens voilà la pluie, Gipsy tombe à terre,
Mais le soleil a chassé la pluie...

Salma Hayek sa poitrine généreuse et ses hanches de taille raisonnable.
C'est le ver au bout de l'hameçon pour attirer Kenshin easy life.
Genre un bon gros ver. Un peu gluant, mais appétissant.
Et diantre que Salma est appétissante.
La voir en petite culotte dans la bande annonce j'étais déjà en train de faire une recherche.
Le film commence par un plan pas piqué des hannetons : plongée sur une porte close.
Salma entre en scène : nue. Comme un ver. Tu vois, on y revient.
Nue et là me voilà subjugué par son postérieur.
Ce film commence bien.

Oui mais voilà, c'est tout.
Salma Hayek et tout son potentiel de phéromones lâchées à l'air libre pour appâter le chaland obsédé sesquuel.

Vous allez regarder Everly...
Non, ne fais pas ça !
Vous allez regarder Everly et vous aurez de suite envie d'augmenter la note de The Equalizer.
Tu sais le film qui en faisait des tonnes pour nous montrer à quel point ils étaient à l'attention de savoir qu'ils ne voulaient pas bâcler le travail de mise en image. Et qui par la même occasion durait un peu trop longtemps.

Everly c'est pareil. Ça dure trop longtemps.
Sauf que ça ne dure, réellement, que 87 minutes en ôtant le générique de fin.

Rien.
Rien ne te sera épargné dans l'étalage des pires trucs à étaler dans un film qui cherche à être pêchu.
Donc, les contres exemples récents sont évidemment ceux qui te viennent directement à l'esprit, le premier, on vient d'en parler, le second c'est John Wick.
Et si tu as envie de rehausser la note du film où Denzel casse du Russe, je te laisse imaginer l'envie qui t'anime de porter aux nues (encore?) le film ou Keanu casse du Russe.
Ambiance japonisante, aussi convaincante que le remake de 47 ronins, que je n'ai pas vu, mais je vous fais confiance, je déclare que ce film c'est de la merde.
Le Japon c'est, des mecs en costard lunettes, des yakuzas tatoués, comme moi mais quand même vachement plus, des katanas, de la torture bien évidemment, et une espèce de saké fort que tu peux désinfecter des plaies avec.
Peut être ils ont confondu avec autre chose, ou alors c'est pas du saké et je me trompe. Je ne sais pas lire le japonais. ゴメン! ゴメン !
Et puis faut son lot de moments tire larmes (ce qu'évitent évidemment les deux autres films sus-cités...).
T'épargner un happy end? Tu n'y penses pas manant.
Tiens, j'ai même pas envie d'être sympa parce qu'il y avait de la fesse et des seins qui débordent du débardeur... C'est dire si ce film m'a chagriné.
Allez zou, comme après un bon gros caca, je tire la chasse et...

Fluuuuuush