Retiré de l'affiche, le film « Bastille Day » racontait l'histoire d'un attentat organisé par le Ministère de l'Intérieur
Le dimanche 17 juillet, la presse française rapportait le retrait des cinémas d'un film franco-britanno-américain intitulé « Bastille Day », sorti le 13 juillet et centré autour de la menace d'un attentat prévu à Paris pour le 14 juillet {https://youtu.be/uFUO7Qarics}.
Le motif du retrait : selon StudioCanal, producteur et distributeur du film, il s'agirait de « respecter les victimes » de l'attentat de Nice {http://panamza.com/btx}.
La décision a été prise par Didier Lupfer, PDG de StudioCanal -une filiale du groupe Canal+ de Vincent Bolloré {http://panamza.com/bty; http://panamza.com/12657}.
Détail à souligner : dans une dépêche commune à propos du retrait du film, l'AFP et TF1 vous mentent en affirmant que le film raconte l'histoire d'un attentat « préparé par une Française » {http://lci.tf1.fr/cinema/news/bastille-day-un-cas-rare-de-film-deprogramme-en-raison-de-l-actualite-8767620.html}.
En réalité, il s'agit d'un attentat « sous faux drapeau » qui a été organisé par une faction secrète de policiers et de haut-fonctionnaires issus du ministère de l'Intérieur. La Française en question, incarnée par l'actrice Charlotte Le Bon, est une militante d'extrême gauche manipulée pour poser une bombe dans les locaux du « Parti nationaliste ».
Quant aux comploteurs du ministère, il utilisent cet attentat pour détourner l'attention d'un projet de détournement d'argent frauduleux à la date du 14 juillet, jour férié pour les banques françaises {http://www.imdb.com/title/tt2368619/plotsummary}.