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Un migrant terrorise les passagers d'un vol easyJet en criant 17 fois «ALLAH AKBAR, LA MORT ARRIVE»


Un migrant terrorise les passagers d'un vol easyJet en criant 17 fois «ALLAH AKBAR, LA MORT ARRIVE»

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Les passagers d'un vol easyJet reliant Gatwick et Venise ont passé un voyage terrifiant dans lequel un voyageur aurait répété à plusieurs reprises, « Allahu Akbar » et « Nous allons mourir aujourd'hui. »


Le Mail a rapporté dimanche que l'homme qui a proféré les menaces était un migrant qui était accompagné par des agents du ministère de l'intérieur en vu d'être expulsé.

Un enregistrement audio de 11 minutes existe sur internet qui présente l'homme en train de crier « Allahu Akbar » 29 fois, « la mort arrive » 17 fois et « nous allons tous mourir » 9 fois.

https://www.youtube.com/watch?v=e4DdOe9zS7c

Les témoins ont raconté aux officiels que l'homme qui l'accompagnait a tenté tant bien que mal de le calmer.

Lucy O'Sullivan, 33 ans, originaire de Detling dans le Kent, voyageait avec son mari, Terence, et déclare s'être sentie menacée.

« Le pire des scénarios aurait été de ne jamais descendre de cet avion vivant car nous ne savions pas qui était cette personne, quelles étaient les circonstances ou quoi que ce soit. Personne ne nous a rien expliqué. C'était très effrayant. »

« Quand nous avons embarqué, les sièges bougeaient donc il était en train de donner des coups de pieds dedans ou de se débattre. Je croyais que quelqu'un passait ses nerfs. »

« Mais quand nous nous sommes rapprochés on pouvait voir des gens qui l'empêchaient de bouger. »

Plus tôt cette année, il a été révélé que le gouvernement a gâché près de 2 millions d'euros dans des « expulsions fantômes » en achetant des billets d'avion pour tous ceux qui n'avaient pas obtenu un droit d'asile.

Un porte-parole d'easyJet a dit: « Nous reconnaissons qu'à cette occasion la situation à bord était plus que perturbante pour les autres passagers et nous nous excusons pour cela. »

Le ministère de l'intérieur a refusé de commenter ce cas individuel.

Source: The Telegraph, le 11 septembre 2016