"Ravis d'avoir pu expliquer ce qu'était l'homéopathie."
Plusieurs médecins sanctionnés ont eux aussi l'intention de poursuivre leur combat et réaffirment leur droit à dénoncer l'homéopathie. L'urgentiste Mathias Wargon, par exemple, a été puni par un blâme pour "non-confraternité" (article R. 4127-56 du code de la santé publique) et "déconsidération de sa profession" (R. 4127-31), selon la décision qu'on pouvait consultée. Il évoque des poursuites "disproportionnées par rapport aux faits reprochés" et réitère ses critiques à l'égard de produits "qui n'ont jamais fait preuve de leur efficacité".
Mathias Wargon, urgentiste a écrit :
Quand on attaque l'homéopathie, ça se passe dans les tribunaux et jamais dans les revues scientifiques. La seule réponse, c'est une atteinte à la liberté d'expression.