Et pourtant, Godzilla est un corps rocheux, tout comme notre planète, mais aucune trace de gaz n'a été détectée dans son atmosphère. Astronome à l'Université d'Harvard (États-Unis), Dimitar Sasselov s'interroge encore : « Comment concevoir la réalité d'une planète qui n'aurait même pas aggloméré de petites quantités d'hydrogène et d'hélium ? »
Kepler-10 c « Godzilla », la planète impossible.