Mais vraiment ! Comment cela peut être réellement fiable ?
Loic a écrit :
Il y a le Jour du dérèglement mondial qui indique le moment où l'humanité a consommé la totalité des ressources de la Terre avant que celles-ci ne se régénèrent. Maintenant, il y a le Jour du dérèglement concernant les émissions de CO2 et la France commencera à creuser sa dette climatique à partir du jeudi 5 mars.
En plus c'est totalement FAUX et je peux le prouver sans faire aucunes études :
"nous ne sommes jamais assez nombreux en Europe et encore moins en France". Il faut toujours plus de croissance.
et donc n'accueille t'on pas pour compenser ?
Moralité de la où je veux en venir : en réalité on ne produit jamais assez, car plus on est, plus faut produire, mais comme année après après on est dans notre pays en sous effectifs, cela signifie donc tout l'inverse : "on est très loin de produire ce que l'on devrait produire en France".
Pour le CO2 on est encore en contradiction comme on l'est sur bons nombres de sujets. Les uns disent ça, mais les autres le contraire.
Alors question : Comment la France va pouvoir attendre ses objectifs pour baisser ses émissions de CO2 pour d'ici 2050 et en parallèle avoir eu des dizaines de millions de personnes en plus afin de respecter les obligations européennes ?
Oui, même ici on est encore en contradiction.
Loic a écrit :
Les 80 millions de tonnes de CO2 sont la limite incompressible puisqu'elle concerne les ressources essentielles à notre pays comme l'agriculture.
Encore une contradiction vu que notre pays c'est donné pour mission de nourrir le monde entier essentiellement avec des produits de qualités, quitte à importer des produits médiocres pour que nous on puis-ce aussi manger.
Célia Gauthier a écrit :
Il ne reste qu'une génération - trente ans - pour faire reculer le jour du dérèglement de 300 jours, jusqu'au 31 décembre. Chaque jour où l'on procrastine vient creuser notre dette climatique.
Donc elle fait parti de ceux qui croient que c'est à nous d'être des générations sacrifiés pour compenser ce que tous les prédécesseurs on pu faire et qui allait dans le mauvais sens.