Le capturer et le relâcher plus loin.
La solution ? "Il faut les capturer avec une épuisette et les éloigner de la côte." Le baliste se pêche et se mange, malgré sa peau rugueuse. Un peu à l'image de son tempérament, sourit Pascal Romans : "Il est très individuel, familier... et caractériel !". En conclusion, si vous le trouvez sur votre passage, laissez-lui la priorité.
Illustration ici avec une autre variété : le Baliste titan.