Lors d'un point téléphonique, Jean-Louis Blanc, le président de la Fédération Française des véhicules d'époque, et Laurent Hériou, le directeur général, se sont montrés rassurants, confiant que le sujet fait l'objet d'un suivi très particulier au sein de l'association reconnue d'utilité publique. «Nous ne faisons que ça», dit Jean-Louis Blanc. Et de poursuivre: «Il va falloir être patient. Cela va prendre du temps parce que les métropoles, qui ont décidé de mettre en place ces zones à faibles émissions ayant pour but de limiter la circulation à certains véhicules, vont devoir délibérer.»