Cinq anciens clients du Parc Astérix veulent porter plainte contre l'organisation. En effet, ces cinq personnes ont été expulsés lors de la nocturne d'Halloween en octobre dernier à cause de leur comportement menaçant et d'un manque total de civilité. Maintenant, ces cinq clients veulent se venger et porter plainte contre le Parc Astérix.
Parc Astérix : une nocturne d'Halloween qui tourne mal.
Chaque année, le Parc Astérix organise une nuit spéciale au moment d'Halloween. En effet, le parc met en place une nuit entière où les attractions restent ouvertes, et où les spectateurs peuvent s'amuser dans un contexte un peu spécial. Mais en octobre dernier, les choses ne se sont pas déroulées totalement comme prévues. Cinq jeunes, trois filles et deux garçons, âgés de 16 à 28 ans, ont été expulsés du Parc. Selon Le Courrier Picard, les cinq visiteurs ont été rappelés à l'ordre lorsqu'ils ont doublé la file d'attente de l'attraction La Maison de la Peur. Malgré ce premier avertissement, le petit groupe a réitéré les faits sur d'autres attractions avant d'avoir été expulsé du parc.
Mais la version des cinq jeunes s'oppose à celle du Parc Astérix. Selon les cinq clients, il y a eu un malentendu avec la sécurité. Trois membres du groupe avancent qu'ils sont allés chercher à boire pendant que les deux derniers faisaient la queue. Ceux qui sont allés chercher de quoi se désaltérer ont ensuite rejoint leurs deux compagnons. Selon Le Parisien, les choses se sont envenimées quand le groupe a été emmené en zone technique. Les jeunes affirment avoir été plongés dans un dialogue de sourd et d'avoir été victimes de violence physique et verbale. Les médecins ont en effet révélés de multiples ecchymoses et contusions à divers endroits du corps des plaignants.
Les jeunes portent plainte.
Face à cette situation, les cinq jeunes ont décidé de porter plainte contre l'organisation du Parc Astérix.
Guy Vassel, directeur général adjoint du parc d'attractions a écrit :
Ces personnes mettent aujourd'hui en cause nos agents de sécurité dans la presse alors que nous ne sommes pas intervenus.
Il défend ses équipes et argue que le groupe de jeunes était agressif et violent. Il rappelle même que les gendarmes présents sur le site ont procédé à un menottage. Le directeur du Parc précise que les gendarmes sont toujours présents sur site lors de ce type d'événement et que les vidéos de surveillance sont mises à disposition pour les besoins de l'enquête. Affaire à suivre donc.