Alors que le personnage de Green Lantern semble sous-représenté à l'écran, dans les comics, c'est tout autre, notamment à travers ses nombreux alias. Mais il y a un surnom autrefois donné qui ne passe plus auprès de DC Comics aujourd'hui, en raison de sa connotation sexuelle.
Un personnage sous-représenté au cinéma, mais qui a de l'avenir.
Membre éminent de la ligue des justiciers, Green Lantern est un super-héros créé en 1940 avec The Green Lantern, publié dans le numéro 16 de All-American Comic par l'éditeur DC Comics. Le personnage a eu droit à une adaptation cinématographique réalisée par Martin Campbell, sortie le 10 août 2011 en France, avec Ryan Reynolds dans le rôle de Hal Jordan.
Ce dernier devait initialement apparaître dans le dernier Justice League de Zack Snyder, mais il a finalement été coupé au montage à la demande de Warner Bros. On apprenait ainsi que le studio avait des intentions pour les futurs projets affilié à son personnage et a donc demandé à ce qu'il soit retiré du film, afin de le garder pour d'autres projets. Ce projet, c'est une série Green Lantern sous la houlette de Warner Bros pour sa plateforme HBO Max.
Dans les comics, le personnage de Green Lantern est bien plus représenté, notamment à travers celui d'Hal Jordan, peut-être considéré comme le plus populaire. À travers ces différentes représentations, Green Lantern s'est vu donné de nombreux surnoms, mais parmi eux, il y en a une en particulier qui a été plutôt gênant, et jugé inapproprié par le DCEU.
Un surnom qui ne passe plus.
Ainsi, dans Green Lantern #11, Hal Jordan perd son anneau Green Lantern. Forcé d'agir seul après avoir surpris un groupe de cambrioleurs en train de voler un coffre-fort, Hal Jordan se lance à leur poursuite en costume. Il assène un coup-de-poing à l'un des voleurs, ce qui surprend l'un des complices. Le texte le décrit alors en conséquence, comme " croisé excité ".
Un surnom qui ne passe plus aujourd'hui auprès de DC, car jugé trop sexuel pour la période actuelle. Si à l'époque, les propos à consonance sexuelle, voire sexiste dans les comics étaient légion, et représentaient une normalité, aujourd'hui, ce n'est plus le cas.
Nul doute que la signification de ce surnom n'avait peut-être pas le même impact, ni la même portée lorsque l'éditeur l'a imprimé il y a six décennies. Quoi qu'il en soit, celui de Chevalier d'émeraude semble bien plus adapté aujourd'hui.