En mars dernier, l'acteur Ezra Miller était arrêté par la police pour trouble de l'ordre public et harcèlement. Inculpé de deux chefs d'accusation avant d'avoir été libéré après avoir payé une caution de 500 dollars, Miller a finalement réitéré l'expérience le mois dernier. Et alors que DC et la Warner réfléchissent à leurs projets futurs avec Miller, la vidéo de l'arrestation de l'acteur a fait surface, révélant une raison incongrue à la présence d'une caméra.
Une raison controversée.
Depuis plusieurs mois, l'actualité entourant l'acteur Ezra Miller n'est pas rose. Multiples arrestations survenues à Hawaï, futur incertain auprès de DC et la Warner, pour ses rôles de Flash et de Croyance Bellebosse, Miller peine à redorer son image. Et malheureusement pour lui, les récentes informations partagées par TMZ, un média américain spécialisé dans le people, ne sont pas en sa faveur. En effet, on y apprend que Miller filmait ses arrestations pour les transformer en NFT. Lors de l'une de ses arrestations à Hawaï, il avait été partagé que Miller avait été agressif avec les forces de l'ordre, réclamant en hurlant à voir les numéros de badge des officiers.
Sur place, et grâce à l'une des caméras portées par l'un des officiers, il est possible d'entendre l'une des victimes de Miller expliquer que l'acteur l'a attaqué avant de lui cracher au visage. Interrogé sur place par les forces de l'ordre, Miller a finalement tenté de s'expliquer :
"J'ai été agressé et j'ai commencé à filmer", explique Miller dans la vidéo. "Laissez-moi vous montrer la vidéo. Je me suis fait agresser dans ce bar, deux fois de suite. Je me filme quand je me fais agresser pour de l'art NFT."
"Je suis arrêté pour trouble à l'ordre public ? J'ai été agressé", dit Miller ailleurs dans la vidéo. "Vous comprenez ça, n'est-ce pas ?"
Durant son arrestation, Miller a réclamé ses droits au 9e ("L'énumération de certains droits dans la Constitution ne pourra être interprétée comme déniant ou restreignant d'autres droits conservés par le peuple.") et 4e ("Le droit des citoyens d'être garantis dans leur personne, leur domicile, leurs papiers et leurs effets contre les perquisitions et saisies non motivées ne sera pas violé et il ne sera émis aucun mandat si ce n'est sur présomption sérieuse, corroborée par serment ou déclaration solennelle et décrivant avec précision le lieu à perquisitionner et les personnes ou choses à saisir") amendements.
Il a ensuite accusé l'une des officiers d'avoir touché ses parties génitales avant de se décrire comme "transgenre et non-binaire" et assurer ne pas vouloir "être fouillé par un homme". Une arrestation qui se conclura finalement par deux chefs d'accusations, trouble de l'ordre public et harcèlement, et une amende de 500 dollars.