D'abord Twitter, maintenant Disney : il semblerait que la firme aux grandes oreilles doivent bientôt se préparer au pire. Le réseau social, récemment racheté par Elon Musk, a licencié en masse son personnel, et pourrait bien faire faillite s'il ne parvient pas à engranger plus d'argent. Des rumeurs très inquiétantes, aussi bien pour les utilisateurs que pour les actionnaires, et qui pourraient s'accompagner d'une autre annonce toute aussi dramatique du côté de Disney. En effet, malgré le succès de sa plateforme de streaming, il semblerait que l'entreprise américaine soit en difficulté.

Disney forcé de prendre cette terrible décision ?

Depuis plusieurs mois, les géants de l'audiovisuel souffrent particulièrement. Les licenciements se sont multipliés au sein des équipes de Netflix, HBO ou Warner Bros. Alors que les plateformes de streaming semblent être très lucratives d'un point de vue extérieur, il s'avère qu'elles ne sont pas rentables. Le grand patron de Disney, Bob Chapek, a ainsi prédit que son service de vidéo à la demande sera rentable d'ici fin 2024. Mais ce ne sera pas sans difficultés...

En effet, selon nos confrères de CNBC, qui ont eu accès à une note de service des studios, le PDG envisagerait de diminuer ses effectifs, de geler les embauches (ne recruter de nouveaux employés que pour "les postes les plus critiques et les plus importants pour l'entreprise") et de ralentir les voyages de ses employés (remplacés par des réunions de travail virtuelles). Des décisions drastiques destinées à réduire les coûts de la firme.

Confirmé: Disney prévoit un gel des embauches et des licenciements ciblés, selon une note du PDG Bob Chapek.

Bien que cette information n'est pas encore été officiellement confirmée ou infirmée par Disney, il y a de grandes chances pour que ce soit le cas dans un futur proche. On ne sait pas encore quel sera le nombre d'employés qui pourraient être remerciés, car la firme va d'abord former un "groupe de travail sur la structure des coûts" afin d'examiner ses finances. Toutefois, la directrice financière Christine McCarthy ayant déclaré que l'entreprise "évaluait activement sa base de coûts et recherchait des gains d'efficacité significatifs", le nombre de licenciements pourrait être conséquent. Une bien mauvaise nouvelle...