On parle de l'un des plus grands mystères de l'histoire de l'aviation civile : le fameux vol MH370 de la Malaysia Airlines disparu le 8 mars 2014. Depuis, aucune piste n'a permis de comprendre ce qu'il était arrivé à cet avion et à ses 239 passagers. De nombreux experts ont tenté de trouver une explication, en vain. Cependant, dix ans après cette mystérieuse disparition, un chercheur français aurait trouvé de nouveaux indices qui accréditent sa thèse.
Vol MH370, le mystère en passe d'être résolu.
Le mystère autour du fameux vol MH370 serait-il bientôt enfin résolu ? En effet, le 8 mars 2014, l'avion de la Malaysia Airlines survolant l'océan Indien, disparaît des radars. Depuis 10 ans, les familles des 239 passagers sont dans l'attente de comprendre ce qu'il s'est réellement passé. Des centaines d'experts et d'enquêteurs ont essayé de trouver des pistes sans pour autant retrouver l'appareil. Mais aujourd'hui, l'enquête menée par un chercheur français ravive les espoirs.
Effectivement, Patrick Blelly, ancien pilote de long-courrier chez Air France a décidé de mener sa propre enquête pour lever le voile autour de ce qui est le plus grand mystère de l'histoire de l'aviation civile. Grâce aux informations qu'il a pu recueillir, il vient enfin de prouver une thèse qui était restée jusqu'à maintenant considérée comme une piste inenvisageable.
Vol MH370 : détournement et suicide ?
Le français et son équipe ont ainsi pu accéder aux données de Geoscience Australia qui offrent la possibilité de connaître la trajectoire exacte de l'avion de la Malaysia Airlines qui a décollé de Kuala Lumpur et qui était censé rejoindre Pékin. Après analyse, ils ont découvert que lorsque le transpondeur de l'appareil s'est arrêté, le Boeing 777 de la compagnie malaisienne serait passé en pilotage manuel pour effectuer un demi-tour "très serré" en survolant le détroit de Malacca puis a engagé une descente d'urgence dans le but de dépressuriser l'avion. Une action qui aura provoqué la mort de l'ensemble des passagers au bout de 22 minutes par manque d'oxygène et par hypothermie.
Autre indice, le téléphone du copilote a borné sur une antenne au sol située dans l'île de Penang une demi-heure après la descente. Ce dernier aurait tenté d'alerter les autorités sans succès. Tout pourrait prouver qu'il s'agit d'un détournement de l'appareil suivi du suicide du pirate de l'air. Celui-ci a mis le cap vers le sud jusqu'à ce que l'avion n'ait plus de kérosène et amerrisse dans l'océan Indien.
Reste désormais à déterminer si cette thèse est la bonne et si elle est exacte elle pourrait permettre de retrouver la carlingue de l'appareil dans une zone défini par Patrick Blelly qui s'étend sur 2200 km2.