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El Roslino
Ces achats de F35 (ici ceux de l'armée italienne) ont été engagés en 2022 grâce à un premier budget militaire exceptionnel de 100 milliards d'euros, débloqué par le chancelier Olaf Scholz au lendemain du déclenchement de la guerre en Ukraine.
Le ministre allemand de la Défense, Boris Pistorius, enfonce le clou de l'acquisition de F 35 de Lockheed Martin et dit vouloir « plus de forces de frappe des États-Unis et de l'Europe », une manière de proclamer son ralliement à un hyper-atlantisme tant désiré par Donald Trump.
Les plans de surarmement de l'Europe sont présentés comme une réponse sans appel à un retrait militaire attendu des États-Unis trumpistes et à un besoin d'autonomie stratégique du vieux continent. En quelques phrases, le ministre allemand de la défense en exercice, Boris Pistorius (SPD), est venu mettre les pendules à l'heure : Berlin honorera bien l'achat de la totalité des chasseurs bombardiers F 35 commandés en 2022 au puissant groupe aéronautique états-unien, Lockheed Martin. « Les États-Unis sont et restent pour nous un allié important - y compris pour l'équipement de la Bundeswehr (l'armée fédérale, NDLR). » Et d'insister : « L'Europe et les États-Unis veulent et doivent gagner en termes de forces de frappe. »
Cette mise au point intervient après un débat sur le bien-fondé de la commande d'un lot de trente-cinq F35 auprès du géant états-unien. Ces achats ont été engagés en 2022 grâce à un premier budget militaire exceptionnel de 100 milliards d'euros, débloqué par le chancelier Olaf Scholz au lendemain du déclenchement de la guerre en Ukraine.
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