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El Roslino
Cette mission nommée « Kuiper Atlas 1 » prévoit le lancement de 27 satellites via une fusée Atlas V du groupe United Launch Alliance (ULA), qui regroupe Boeing et Lockheed Martin.
Ces 27 satellites du projet Kuiper constitueront les premiers jalons d'une constellation devant compter à terme plus de 3 200 satellites en orbite basse
L'entreprise Amazon de Jeff Bezos se prépare à lancer les premiers satellites de sa constellation qui doit fournir un accès internet depuis l'espace et concurrencer celle de son rival Elon Musk, Starlink.
Cette mission nommée « Kuiper Atlas 1 » prévoit le lancement de 27 satellites via une fusée Atlas V du groupe United Launch Alliance (ULA), qui regroupe Boeing et Lockheed Martin. Le décollage est prévu le 9 avril à partir de midi heure locale (18 heures en France) depuis Cap Canaveral en Floride, a précisé ULA, qui avait déjà assuré à l'automne 2023 le lancement de deux prototypes de satellites pour le géant de la vente en ligne.
Concurrencer Starlink
Ces 27 satellites du projet Kuiper constitueront les premiers jalons d'une constellation devant compter à terme plus de 3 200 satellites en orbite basse. Avec pour objectif de proposer un accès internet à haut débit aux zones les plus reculées du monde, y compris des zones de guerre ou sinistrées. Selon Amazon, ce service d'internet par connexion satellitaire devrait être mis en route au cours de l'année 2025. L'entreprise du multimilliardaire Jeff Bezos ambitionne ainsi de concurrencer directement la constellation Starlink d'Elon Musk.
Mais comme dans le domaine des fusées, où les deux richissimes entrepreneurs se font également concurrence, le patron de Tesla et de SpaceX dispose d'une bonne longueur d'avance. Mise en route il y a déjà plusieurs années, sa constellation Starlink dispose aujourd'hui de plus de 6 750 satellites en orbite, selon son site, et constitue le leader mondial de ce marché en plein essor.
En deuxième position se retrouve l'opérateur européen Eutelsat, qui a fusionné en 2023 avec OneWeb. D'autres acteurs, comme la Chine avec la constellation GuoWang, ou encore le Canadien Telesat, se disputent des parts de marché.
Les services historiques de l'internet par satellite passent par des engins en orbite géostationnaire, à plus de 35 000 km d'altitude. Mais leur éloignement fait qu'ils ne peuvent pas atteindre les performances d'une connexion à très haut débit, en raison notamment du délai entre la commande et l'exécution de la requête. Les satellites en orbite terrestre basse, soit à quelques centaines de kilomètres d'altitude, permettent eux des communications plus rapides.
El Roslino
Avec ça, nous allons pouvoir capter Soso sous la douche.
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