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Le terme « illimité » a déjà fait l'objet de nombreux débats autour des télécommunications en France. Après un premier avertissement en février dernier, L'UFC-Que Choisir vient d'attaquer en justice dix opérateurs mobiles à cause de l'utilisation de ce mot et des pratiques qui l'entourent.
L'association de consommateurs dénonce les limites imposées par les opérateurs sur des forfaits dits « illimités », notamment concernant les appels et les SMS. Les dix opérateurs concernés sont B&You, Coriolis, Free Mobile, La Poste Mobile, Prixtel, SFR, Simplus, Sosh, Virgin Mobile et Zéroforfait. Seul Numéricable a disparu de cette liste.
Le Simlockage également dans le collimateur de l'association.
Ces 10 opérateurs présentent dans leurs contrats des cas de « mauvaise utilisation », d'« utilisation abusive » ou « excessive », sans pour autant préciser en quoi consistent ces abus, à partir de combien de temps passé au téléphone ou de SMS envoyés est-on dans l'excès, ni même quelles sanctions sont prévues. Autant de zones d'ombres qui laissent les utilisateurs dans le doute, selon l'UFC-Que Choisir.
L'association reproche également à ces opérateurs le verrouillage (ou simlockage) des terminaux mobiles vendus dans leurs boutiques et sur Internet. Elle considère cette pratique comme illégale dans le cas d'un forfait sans engagement. L'abonné peut en effet résilier ces forfaits à tout moment, mais reste lié à l'opérateur via son téléphone.
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