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La Business Software Alliance (BSA), qui défend les intérêts des éditeurs de logiciels en France, s'inquiète de la hausse du piratage en entreprise. Au premier semestre 2013, elle a constaté que 45 entreprises françaises utilisaient des logiciels piratés, et ont dû s'acquitter d'un total de 460 000 euros.
Ces chiffres ont été relevés par BSA sur la période du premier semestre 2013. « Cela représente une hausse de 25 % par rapport à la même période l'an dernier », explique François Rey, président du comité France du BSA. En France, le taux d'entreprises épinglées pour piratage est de 37 % en moyenne, bien au-dessus de la moyenne européenne de 33 %.
La BSA estime que cela représente un manque à gagner de près de 2 milliards d'euros pour les éditeurs de logiciels. L'autre problème qui peut se poser est celui de la sécurité, qui peut être beaucoup plus facilement compromise en travaillant avec des logiciels piratés, notamment si les auteurs de la version copiée y ont inclus des programmes malveillants. Un argument sur lequel François Rey tente de communiquer pour convaincre les responsables informatique en entreprise de se tourner vers des solutions légales.
Vrai qu'il y a des programmes malveillants dans quelques copies - A savoir qu'une entreprise peu déduire le prix des logiciels des bénéfices et récupère la TVA (Achat de plus de 500 € cela passe en immobilisation).
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