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Paris - Lors de la traditionnelle présentation des vœux à la presse, le président français a chuté dans une anaphore, une technique de discours qu'il utilise régulièrement. Mais on apprend aujourd'hui que le président n'a pas réussi à s'en sortir, entamant ainsi une longue anaphore de 3 jours, et ce malgré l'intervention des secours.
Cela devait être une cérémonie ordinaire de vœux à l'Élysée. Cela devait être un discours protocolaire mais très correct de François Hollande, devant un parterre de journalistes. Mais très vite, les choses s'emballent. Mais très vite, les invités comprennent que le président ne se sent pas bien. « Il a commencé son discours, puis il a utilisé une anaphore, comme il les aime » raconte un témoin. Mais rien ne se passe comme prévu. Rien ne se passe lorsque François Hollande tente de reprendre le contrôle de son discours. Rien ne se passe et la salle comprend alors le drame qui se joue sous ses yeux.
Pendant 25 minutes, le président lutte. Pendant 25 minutes, le président fait signe discrètement à l'assistance, se débat avec lui-même. « On a réalisé qu'il était coincé dans sa propre anaphore, il ne pouvait plus que s'exprimer de cette façon, il faisait de grands signes, c'était horrible » raconte un huissier de l'Élysée. La cérémonie terminée, les secours interviennent et tentent de maîtriser le président. La cérémonie terminée, les secours comprennent la gravité de la situation, le président est dans un état jugé sérieux. « On était préparés à tout, mais pas à ça, c'est très triste de le voir ainsi » raconte un pompier, encore choqué.
L'anaphore ne cesse pas pour autant et va durer toute la nuit. L'anaphore ne cesse pas et est encore là le matin, au moment du conseil des Ministres. « Parfois, le président comprenait notre malaise et tentait de s'excuser, aussi en anaphore » raconte un ministre. L'inquiétude grandit, car au bout de trois jours, nombreux qui étaient au chevet du président se sont aussi mis à parler en anaphore. L'inquiétude grandit et le chef des secours de lâcher « Oh purée que c'est lourd ».
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