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El Roslino
Christina England, VacTruth, 8 septembre 2016
Maintes et maintes fois Vac Truth a publié des histoires déchirantes impliquant des nourrissons qui ont reçu des vaccins multiples au cours d'une seule visite médicale. Beaucoup de ces enfants ont subi des lésions cérébrales irréversibles ou sont décédés dans la suite.
A l'heure actuelle, un enfant de huit semaines peut recevoir jusqu'à dix doses de vaccins au cours d'une seule visite, et dans un cas particulier, un enfant a reçu treize doses qui malheureusement l'ont conduit à la mort. [1]
Jusqu'à récemment, il y a eu très peu d'études pour permettre aux parents d'examiner les faits concernant les dangers des vaccinations multiples. Toutefois, ceci serait sur le point de changer.
Des études montrent que les vaccinations multiples sont dangereuses pour les bébés
Il y a quelques semaines, Neil Z. Miller a publié un document intitulé La combinaison de plusieurs vaccins pour enfants au cours d'une seule visite n'est pas sans danger. [2] En utilisant les données du VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System), Miller a été en mesure de prouver que plus un enfant recevait de vaccins à un moment donné, plus il y avait de risques qu'une réaction indésirable se produise.
En plus des données présentées dans le tableau ci-dessous basé sur 38.801 rapports du VAERS, Miller déclare :
« Parmi les 38.801 rapports du VAERS que nous avons analysés, il y a d'abord eu 969 nourrissons qui ont reçu deux doses de vaccin avant qu'ils ne fassent des effets indésirables et 107 nourrissons ont dû être hospitalisés : soit un taux d'hospitalisation de 11%.
Parmi les 1959 nourrissons qui ont reçu 3 doses de vaccin, 243 ont dû être hospitalisés, soit 12,4%.
Pour 4 doses de vaccins, 561 des 3.909 nourrissons ont dû être hospitalisés, soit 14,4%.
Il est facile de remarquer que sur base des rapports du VAERS, les nourrissons qui ont eu un effet indésirable ont été davantage susceptibles d'être hospitalisés quand ils ont reçu trois doses de vaccin au lieu de deux, ou quatre doses de vaccin au lieu de trois. »
Miller poursuit : « Des 10.114 nourrissons qui ont reçu 5 doses de vaccin avant l'événement indésirable, 1463 ont dû être hospitalisés, soit 14,5%. Pour 6 doses de vaccin, 1.365 des 8.454 nourrissons ont dû être hospitalisés, soit 16,1%. Pour 7 doses, 1051 des 5.489 nourrissons ont dû être hospitalisés, soit 19,1%. Et pour 8 doses de vaccins, 661 des 2.817 nourrissons ont dû être hospitalisés, soit 23,5%. Le taux d'hospitalisation a augmenté linéairement de 11,0% pour deux doses à 23,5% pour huit doses. »
En d'autres termes, plus un nourrisson reçoit de vaccins, plus il est susceptible de faire des réactions indésirables.
Miller explique que :
« A partir des 38.801 rapports du VAERS que nous avons analysés, 11.927 nourrissons ont reçu une, deux, trois ou quatre doses de vaccin à la suite desquelles ils ont présenté un effet secondaire ; 423 de ces nourrissons sont décédés : un taux de mortalité de 3,6%.
Les autres 26.874 nourrissons ont reçu cinq, six, sept ou huit doses de vaccin à la suite desquelles ils ont présenté un effet secondaire ; 1458 de ces nourrissons sont décédés, soit un taux de mortalité de 5,4%.
Le taux de mortalité des nourrissons qui ont reçu de cinq à huit doses de vaccin (5,4%) est significativement plus élevé que le taux de mortalité des nourrissons qui ont reçu une à 4 doses de vaccin (3,6%) [...]
Parmi les nourrissons signalés au VAERS, ceux qui avaient reçu le plus de vaccins présentaient un taux de mortalité de 50% statistiquement et significativement plus élevé comparativement aux nourrissons qui avaient reçu moins de vaccins. »
Selon Miller, les enfants de moins de six semaines et qui recevaient plus d'un vaccin étaient davantage susceptibles de souffrir de réactions indésirables que des enfants âgés de plus de six mois.
Au cours de son étude, Miller a découvert que non seulement l'âge des enfants déterminait si oui ou non ils couraient un risque supplémentaire de souffrir d'un effet secondaire indésirable, mais il déterminait aussi le risque de les voir mourir prématurément.
Après avoir examiné le chiffre colossal de 38.801 réactions indésirables rapportées au VAERS, Miller et son équipe déclarent que :
« ... Des 38.801 rapports du VAERS que nous avons analysés, 765 concernaient des nourrissons de six semaines ou plus jeunes, et qui avaient reçu une ou plusieurs doses de vaccin avant l'événement indésirable, et 154 de ces nourrissons ont dû être hospitalisés, soit un taux d'hospitalisation de 20,1%.
Parmi les 5.572 nourrissons âgés de six mois au moment de la vaccination, 858 ont dû être hospitalisés, soit un taux de 15,4%.
Parmi les 801 enfants qui étaient âgés de près d'un an quand ils furent vaccinés, 86 durent être hospitalisés, soit un taux de 10,7%. Le taux d'hospitalisation diminue de façon linéaire de 20,1% pour les nouveau-nés à 10,7 pour les nourrissons plus âgés. [...]
Parmi les 38.801 rapports du VAERS que nous avons analysés, 26.408 nourrissons n'avaient pas encore six mois. Après avoir reçu une ou plusieurs doses de vaccin, 1623 nourrissons sont décédés, soit un taux de mortalité de 6,1%. Les 12.393 nourrissons restants avaient entre six mois et un an d'âge. Après avoir reçu une ou plusieurs doses de vaccin, 258 sont morts, soit un taux de 2,1%.
Le taux de mortalité des nourrissons vaccinés à moins de six mois était significativement plus élevé que le taux de mortalité des nourrissons âgés de six mois à un an...
Les nourrissons qui ont souffert d'un événement indésirable rapporté au VAERS étaient davantage susceptibles d'être hospitalisés ou de mourir s'ils étaient plus jeunes au moment de la vaccination. »
Comme tout chercheur, scientifique ou professionnel de la Santé, Miller n'a pu travailler qu'avec les statistiques disponibles à l'époque. Cependant, comme beaucoup d'entre nous sont conscients, le nombre des réactions indésirables rapportées au VAERS représente une simple fraction des véritables chiffres [3,4]
[...]
Conclusion
Neil Z. Miller a décrit quelques faits extrêmement alarmants. La situation pourrait cependant être bien pire, étant donné le fait que de nombreux effets indésirables ne sont pas déclarés. Cependant malgré tous ses efforts, aucun des grands médias n'a fait écho à ce document factuel fondé sur des preuves.
Les faits sont les faits, et nous à VacTruth, nous pensons que le temps est venu de mettre un terme à cette folie. Nous demandons aux parents de faire parvenir une copie de l'article de Miller à tous ceux qui s'occupent de la santé, ainsi qu'aux membres du gouvernement avant qu'il ne soit trop tard.
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