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El Roslino
Les outils du maçon, sont la truelle, la taloche, le marteau de maçon, la massette, le burin et la pointerolle, le sabre de maçon, le décintroir, le fer à rejointoyer, la plâtresse, la pointe à béton, la pelle de maçon, les chevillettes de serrage, la brosse, la pioche, le niveau à bulle, le niveau à eau, le fil à plomb, le règle de maçon, le double mètre, le crayon, des cordeaux, équerre et fausse équerre, etc., certains qu'il dispose éventuellement dans un coffre d'outillage.
Il doit parfois faire usage d'échelles et d'échafaudages de brouettes. Il doit en plus s'équiper de machines comme la bétonnière, la disqueuse, la meuleuse, le concasseur à mortier, le compresseur.
Lorsqu'il s'occupe de petite démolition, il fera usage de coins, de Masse, de marteau-piqueur portatif.
Lorsqu'il s'occupe de béton à coffrer entre banches et coffrages, il doit s'investir charpentier, ses outils sont la scies circulaires, les marteaux de charpentier, ciseaux et bédanes, les clés plates, les limes, râpes et rabots, les étais et chandelles, les perceuses, les vilebrequins, visseuses et pied-de-biche, les camions malaxeur, etc.
Anciennement, le maçon s'occupait de la construction des murs en moellons ou meulière, tous les plâtres, et quelquefois la pose de la pierre. Cette association avec le travail du plâtre le fait appeler maçon-plâtrier.
Les outils dont se servaient les maçons étaient, la ligne, la règle et le compas, le niveau, l'équerre, le plomb, la hachette, les marteau, masses et bouchardes, le décintroir, la pince, le ciseau, le riflard, la truelle, la truelle bretée, l'auge, le sceau, le balai, la pelle, le tamis, le panier, le rabot, l'oiseau, les brouette, chariots et diables, le bar, la pioche et le pic, les pinces, poinçons.
Outre les instruments nécessaires de main, ils avaient aussi des machines pour élever de grands fardeaux; tels sont la grue, le gruau ou engin, le guindal, la chèvre, les treuils et cabestans, les moufles et poulies, le levier, et pour conduire de grosses pierres, le charriot, le bar, les madriers, les rouleaux, etc... pour les échafaudages il y avait les boulins, écoperches. On comptait aussi des câbles, câbleaux, cordages, et vingtaines, les camions.
Les entrepreneurs fournissaient la plus grande partie des outils qui constituaient l'équipage. L'ouvrier emmenait avec lui dans sa boîte à outils, une truelle en cuivre et s'il y a des travaux de limousinerie à faire, une deuxième truelle longue en fer pour cet usage, une hachette pour couper les vieux plâtres, ébousiner et équarrir le moellon et démolir ou faire des trous dans les murs dans les planchers, etc., une taloche en bois garnie d'une poignée pour faire les enduits, une règle méplate pour prendre les niveaux, un marteau ayant une panne carrée d'un côté et à pic de l'autre, une auge, une truelle bretée dentelée d'un côté et tranchante de l'autre avec laquelle on nettoie et on dresse les enduits en passant d'abord la partie dentelée de haut en bas et obliquement de gauche à droite et ensuite le côté tranchant pour dresser, d'un riflard de deux niveaux, un plomb, une série de gouges et de fers pour pousser à la main les angles et retours des corniches de chapiteaux ou autres moulures interrompues nécessairement dans les emplacements où l'on ne peut faire glisser le calibre, un ou plusieurs compas en fer.
Lorsqu'on s'occupait de maçonnerie en moellon, le travail prenait le nom de Limousinage et l'ouvrier chargé de la réalisation de l'ouvrage s'appelait limousin.