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El Roslino
Dans un entretien accordé à six grands titres de la presse européenne, François Hollande a mis en garde contre la «menace» à l'euro et à l'Union européenne d'une victoire de Marine Le Pen à la présidentielle. La réaction du Front national n'a pas tardé à venir.
Dans son entretien, François Hollande a longuement mis en garde les Français contre la « menace » que représenterait une victoire de Marine Le Pen à la présidentielle pour l'Europe unie.
« La menace existe. L'extrême droite n'a jamais été aussi haute depuis plus de 30 ans. Mais la France ne cédera pas », a rassuré le président de la République.
Pierre @Pierre_FLMT
#Hollande, fidèle à lui-même, joue sur les peurs d'une extrême-droite qui n'existe pas. Manipulateur il a été, manipulateur il restera.
10:43 - 6 Mars 2017
Il va de soi que ces propos n'ont pas plu au Front national, plus particulièrement à son vice-président Florian Philippot.
« Que le président de la République, après le bilan épouvantable qui fut le sien - il n'a même pas pu se représenter tellement il a honte - se taise, ait un peu l'humilité de se taire », a fustigé M. Philippot sur le plateau de LCI.
Début décembre 2016, François Hollande a annoncé sa décision de ne pas présenter sa candidature pour un nouveau suffrage afin de ne pas exposer à la menace l'unité de la gauche. Son abandon a ouvert la voie au premier ministre Manuel Valls qui a démissionné pour participer aux primaires du PS.
Le président de la République sera élu après deux tours de scrutin les 23 avril et le 7 mai. Pour l'heure, Marine Le Pen et l'ancien ministre de l'Économie Emmanuel Macron sont en tête des intentions de vote. Selon un sondage Kantar Sofres OnePoint pour RTL, Le Figaro et LCI publié dimanche, le premier tour sera remporté par la présidente du Front national avec 26 % des intentions de vote devant le leader d'En marche ! (25 %).
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