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El Roslino
Un médicament peu coûteux, l'Ivermectine (IVM), délivré par les autorités de Mexico aux patients Covid-19 aurait réduit les hospitalisations jusqu'à 76% ! En France, le Dr Maudrux en appelle au ministre de la Santé pour que l'Ivermectine bénéficie d'une Recommandation Temporaire d'Utilisation (RTU). Et va saisir le Conseil d'Etat en référé.
Virus Covid 19
L'info est passée quasiment inaperçue dans les médias français. Pourtant, l'annonce faite récemment par les autorités mexicaines a de quoi susciter l'intérêt de la communauté scientifique. L'utilisation de l'ivermectine administrée à des patients souffrant de la Covid-19 réduirait de 76% le risque d'hospitalisation. L'annonce a été faite par les autorités mexicaines après qu'elles ont distribué à plus de 200.000 personnes, un kit médical contenant 6 mg d'ivermectine et 100 mg d'acide acétylsalicylique. Les résultats ont été surprenants. En outre, la secrétaire à la Santé, Oliva López, a indiqué que l'utilisation de l'ivermectine réduisait le risque de développer une forme grave de la maladie après avoir été infectée par le virus SARS-CoV-2. Autrement dit, l'ivermectine agit comme médicament préventif et curatif.
L'antiparasitaire qui tue le virus en 48 h
Comme nous l'avons révélé dans une interview du Dr Gérard Maudrux en février 2021, l'ivermectine est un antiparasitaire à très large spectre, utilisé contre 183 espèces de nématodes et 129 espèces d'insectes et acariens. Bref, c'est un médicament connu et reconnu. Mais qui présente sans doute l'inconvénient de ne pas être coûteux.
De nombreux scientifiques ont effectué des études qui confirment l'intérêt de cette molécule contre la Covid-19. Dans un article intitulé « L'antiparasitaire qui tue le virus en 48 heures », Santé Log, le blog de la communauté des professionnels de santé écrit : « Une seule dose de cet antiparasitaire bien connu, l'ivermectine, éradique, in vitro, tout le matériel génétique du virus en 48 heures et peut donc arrêter la croissance du virus SARS-CoV-2 - en culture cellulaire. C'est la découverte d'une équipe australienne de l'Université Monash (Melbourne) publiée dans la revue Antiviral Research. On attend les prochaines étapes qui vont consister à valider cet effet in vivo et chez l'Homme, et à déterminer le « bon » dosage humain.
Recours gracieux et référé en Conseil d'Etat
En France, l'ivermectine a un défenseur : le Dr Gérard Maudrux. Ce dernier avait demandé une Recommandation Temporaire d'Utilisation (RTU) qui a été rejetée par l'Agence Nationale de la Sécurité du Médicament (ANSM) le 31 mars dernier. Une hérésie pour le Dr Maudrux qui vient d'adresser au ministre de la Santé, Olivier Véran, un « recours gracieux » via son avocat Me Jean-Charles Teissedre. Car, dit-il « ce refus représente pour nous une menace grave pour la santé publique ».
Après avoir passé en revue les nombreuses études qui, dans le monde, plaident pour l'utilisation de l'ivermectine, le Dr Maudrux écrit dans son blog : » L'Ivermectine est un des médicaments les plus sûrs de la pharmacopée mondiale. Il est reconnu comme étant sans danger et pouvant être utilisé à grande échelle, selon l'OMS.
« Pourquoi ne pas laisser les médecins choisir? »
Pourquoi ces méta-analyses ont-elles été écartées ? « Parce qu'elles arrivent toutes aux mêmes conclusions qui ne sont pas celles voulues par l'ANSM. Ce qu'elles disent est simple : l'utilisation de l'Ivermectine divise par 4 à 5 la mortalité de la Covid, et dans 80% des cas les troubles disparaissent deux fois plus vite. » Il ajoute un peu plus loin : » Entre le Doliprane, préconisé, et l'Ivermectine, qui ne l'est pas, bien que 100 fois moins toxique et avec présomption d'efficacité que n'a pas le Doliprane, pourquoi ne pas laisser les médecins choisir librement, sans contraintes? C'est ce que viennent de faire, entre autres, des ministères de la santé de l'Inde (25) et du Brésil (26), l'introduisant dans les protocoles de traitement précoce. »
Le Dr Maudrux et son avocat joignent à leur recours une liste arrêtée à 1 500 médecins signataires en lui demandant de revoior sa position et celle de l'ANSM, en se fondant « uniquement sur des considérations médicales et non politiques ou financières. »
Requérants de la demande de RTU : Drs Gérard Maudrux (30), Eric Menat (31), Jean François Lesgards (13), Gérard Guillaume (75), Michel Angles (12), Christian Lagasse (82), Vincent Reliquet (59), Claude Chiche (75), Pierre Maugeais (30), Bernard Taillefer (75), Marie Christine Detourbe (21), Marc Arer (42), Vincent Manns (46), Beatrice Rambeaud (74), Christian Latriche (61), Elisabeth Wissler-Koening (57), Gérard Simler (67) Claire Delval (77), Joke Panneels (71), le Syndicat des médecins d'Aix (13), l'AMSIB (80), l'Association BonSens.org (67) et 1500 médecins signataires.
Affaire à suivre...
https://twitter.com/jjchamie/status/1393296163844071432
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