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El Roslino
À gauche Donald Trump et à droite la petite pute de Joe Biden.
Des sondages alarmants pour le président sortant, l'effritement de sa coalition sous l'effet du conflit au Proche-Orient mais aussi les ennuis judiciaires de son rival menacent de bouleverser le remake a priori attendu de l'élection 2020.
Mardi 5 novembre 2024. Un an tout juste nous sépare de l'élection présidentielle 2024, et cette échéance s'offre pleine de vertiges ambivalents. Certes, les déclarations d'intentions de vote et candidatures en présence semblent promettre une opposition déjà vue, en forme de remake revanchard du précédent scrutin, avec le retour sur le ring du duel Trump-Biden, avec quatre années de plus au compteur de chacun, et les rôles de sortant et challenger simplement inversés pour cette fois.
Mais ce qui pourrait ainsi paraître tout tracé et joué d'avance, du moins à hauteur d'éditoriaux et d'instituts sondagiers, présente en même temps un faisceau très étoffé de raisons d'imaginer l'émergence, in fine, d'un scénario tout à fait différent de celui d'il y a trois ans - et ce, sans même s'attarder pour l'heure sur l'hypothèse crédible d'une tierce candidature (de celle du franc-tireur complotiste Robert F. Kennedy Jr. à l'intellectuel gauchiste Cornel West), susceptible de peser, même à la marge, sur les données du rapport de force attendu.
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